Factures scolaires et agences de recouvrement : le combo gagnant
Des articles inquiétants sur les factures scolaires impayées se sont multipliés dans les journaux belges en septembre 2022. Pour Intrum, il n'y a rien d'étonnant à cela. Combinez le mois de septembre coûteux à l'inflation galopante et à la hausse des prix de l'énergie : on laisserait la facture de l'école de côté pour moins que ça.
Le problème des factures scolaires impayées n'est pas un hasard
Même lorsque nous ne sommes pas touchés par une crise énergétique, les factures scolaires finissent déjà en dessous de la pile. Les parents donnent généralement la priorité à d'autres : les ménages belges préfèrent d'abord payer leur loyer ou leur hypothèque, la facture d'énergie et la connexion mobile indispensable à l'heure actuelle.
Cependant, nombre d'écoles ne sont pas armées pour gérer le flux de facturation de manière professionnelle. Il n'est pas rare que le directeur interpelle en personne les mauvais payeurs à la porte de l'école. Pourtant, les directions ont bien d'autres choses à penser, à commencer par l'organisation d'un enseignement de qualité. Déléguer les préoccupations financières à un spécialiste comme Intrum est la preuve même d'une bonne gestion financière.
Gestion des débiteurs socialement responsable
Les agences de recouvrement ne doivent pas toujours être considérées comme le grand méchant pour ce qui est des factures scolaires, malgré ce que peuvent parfois penser les organisations de lutte contre la pauvreté et autres institutions. Au contraire. Intrum apporte non seulement son aide afin de professionnaliser le flux de factures, mais réduit également les coûts entraînés par ces factures impayées ou payées en retard. Nous limitons en outre au maximum les répercussions économiques, c'est-à-dire le montant impayé.
Intrum contribue véritablement à résoudre le problème en cherchant de manière socialement responsable une solution pour les parents qui ne sont pas en mesure de payer. Il peut s'agir de leur apporter un peu d'oxygène sous la forme de plans de paiement... mais là encore, assurer le suivi et coordonner ces plans de paiement implique pas mal de formalités administratives que les écoles ne sont pas à même de gérer.
Ha mais oui, c'est vrai... ces agences de recouvrement vont facturer des frais supplémentaires élevés et ne faire que gonfler la dette des parents. Pas du tout ! C'est en effet l'établissement scolaire qui fixe lui-même le montant des frais liés aux défauts de paiement dans le règlement de l'école et qui décide si ces frais seront imputés ou non. Il est donc totalement infondé de penser que des agences de recouvrement telles qu'Intrum factureront des frais en plus, ce qui est d'ailleurs interdit par la loi.
Hausse exponentielle des coûts dans la procédure judiciaire
Cette idée d'explosion des coûts est due au recouvrement judiciaire, auquel les écoles font trop rapidement appel – selon nous – et qui fait énormément augmenter la facture tant pour les parents que pour l'école.
Intrum privilégie au contraire autant que possible une solution à l'amiable. Mais une chose est sûre : au final, quelqu'un devra payer les frais liés au défaut de paiement. Les écoles ont donc tout intérêt à recourir à un acteur professionnel tel qu'Intrum pour réduire ces coûts au maximum.
Au bout du compte, le budget de l'école tirera profit de notre savoir-faire. Et n'est-il pas vrai que les écoles se plaignent déjà souvent de leur subventionnement et ne s'en sortent pas avec leurs moyens de fonctionnement pour financer un enseignement de qualité ? Voilà pourquoi les agences de recouvrement et les écoles forment un combo gagnant !
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